Depuis le succès commercial énorme de la
saga cinématographique Twilight, il y
a quelques années, personne n’a pu s’empêcher de remarquer que les vampires
reviennent sur les écrans au grand galop.
Il y a quelques mois, on découvrait avec stupeur que même l’un des plus grands pères de l’Amérique, Abraham Lincoln en personne, avait perdu sa mère des crocs d’une telle créature et s’était ainsi transformé en « président le jour, chasseur la nuit ».
Il y a quelques mois, on découvrait avec stupeur que même l’un des plus grands pères de l’Amérique, Abraham Lincoln en personne, avait perdu sa mère des crocs d’une telle créature et s’était ainsi transformé en « président le jour, chasseur la nuit ».
Cette tendance n’a pas non plus échappé au
petit écran où fleurissent depuis quelques saisons de nouvelles séries abordant
le sujet.
Cette nouvelle génération de vampires est
en train de créer ses propres codes, bien plus modernes. Les personnages sont
plus exhibitionnistes. Les pulsions sexuelles ne sont plus exclusivement
réservées aux vampires. Il y a de la drogue et il y a du sang. Le vampire n’est
plus un homme du passé, habillé en comte Dracula, maintenant il a une veste en
cuir et une moto. On est loin des premiers emblèmes du cinéma de vampires : Nosferatu
et Christopher Lee.
Emblème de la première génération : Christopher Lee |
Dans cette nouvelle génération se distinguent deux types de série assez particuliers.
D'un côté, les séries qu'on pourra qualifier de "sérieuses" sont pour la plupart commandées par des chaînes de qualité. HBO, que l'on ne présente plus, a par exemple financé True Blood. Les thèmes sont un peu plus approfondis et se posent les questions d'une vie commune, à l'heure actuelle, avec une société différente, telle que l'est celle des vampires. Nous y reviendrons au cas par cas plus bas.
De l'autre côté en revanche, à l'image de leur ambassadeur cinématographique, Twilight, on plonge complètement dans la série adolescente, qui n'a pas changé depuis Dallas jusqu'à Newport Beach, en ajoutant ce petit plus, bien à la mode qui, pensent les créateurs, démarquera leur série.
Cette seconde lignée tient son origine d’un antécédent bien précis : Buffy contre les vampires. Le format : une série. Le lieu : un lycée dans une petite ville, suffisamment isolée. Et enfin la base de tous les scénarios à venir : une adolescente dont les parents sont morts (ou divorcés) tombe amoureuse d’un vampire qui tente de devenir quelqu’un de Bon.
Voilà tout ce qu’a instauré Buffy et tout ce qui est repris de façon quasi-systématique par les séries du type de The Vampire Diaries. Nous en présenterons donc une pour s'amuser, mais ne nous attarderons pas trop sur le sujet. Si l'on condamne de façon globale l'ensemble des productions de cette seconde lignée, on n'en fera pas tant pour Buffy contre les vampires qui, à une époque où ils étaient bien moins glam et hype qu'aujourd'hui, a su conquérir une floppée d'adolescents par son insouciance et sa présentation légère et simple d'un des mythes les plus fascinants de la science-fiction.
D'un côté, les séries qu'on pourra qualifier de "sérieuses" sont pour la plupart commandées par des chaînes de qualité. HBO, que l'on ne présente plus, a par exemple financé True Blood. Les thèmes sont un peu plus approfondis et se posent les questions d'une vie commune, à l'heure actuelle, avec une société différente, telle que l'est celle des vampires. Nous y reviendrons au cas par cas plus bas.
De l'autre côté en revanche, à l'image de leur ambassadeur cinématographique, Twilight, on plonge complètement dans la série adolescente, qui n'a pas changé depuis Dallas jusqu'à Newport Beach, en ajoutant ce petit plus, bien à la mode qui, pensent les créateurs, démarquera leur série.
Cette seconde lignée tient son origine d’un antécédent bien précis : Buffy contre les vampires. Le format : une série. Le lieu : un lycée dans une petite ville, suffisamment isolée. Et enfin la base de tous les scénarios à venir : une adolescente dont les parents sont morts (ou divorcés) tombe amoureuse d’un vampire qui tente de devenir quelqu’un de Bon.
Voilà tout ce qu’a instauré Buffy et tout ce qui est repris de façon quasi-systématique par les séries du type de The Vampire Diaries. Nous en présenterons donc une pour s'amuser, mais ne nous attarderons pas trop sur le sujet. Si l'on condamne de façon globale l'ensemble des productions de cette seconde lignée, on n'en fera pas tant pour Buffy contre les vampires qui, à une époque où ils étaient bien moins glam et hype qu'aujourd'hui, a su conquérir une floppée d'adolescents par son insouciance et sa présentation légère et simple d'un des mythes les plus fascinants de la science-fiction.
Emblème de la seconde génération : Buffy Summers |
Si Buffy a pu rallier à notre cause de fan
de SF les enfants de la génération « La Trilogie du Samedi », pas sûr
que toutes les nouvelles n’aient le même effet. Petit tour d’horizon sélectif.
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